Zahia Rahmani
Écrivain et historienne d’art.
« Art et mondialisation : généalogie et enjeux du tournant anthropologique de l’art contemporain »
Après avoir travaillé à la Galerie nationale du Jeu de Paume et à la Villa ARSON, elle a créée et dirigé en 1999/2000 le « Research Program » 3ème cycle de l’’école des Beaux-arts de Paris.
En 2004, elle intègre l’Institut national d’histoire de l’art (www.inha.fr), pour conduire un projet de recherche prospectif sur l’art et l’architecture dans la mondialisation.
Elle a développé la base de données «Art et mondialisation ».
L’indexation de plus de 4 500 ouvrages consacrée aux corpus théoriques et aux pratiques artistiques de la scène artistique internationalisée, consultable sur Agorha.
Elle est l’auteur de trois textes littéraires, MOZE (2003), « Musulman » roman (2005) et France, récit d’une enfance (2006), aux éditions Sabine Wespieser.
Elle a fait publier dans, Alejendra REJA, « Maquettes sans qualités », Fondation Tapies 2004, et, Monique DEREGIBUS, « Hôtel Europa » éd. Atalante, 2006, une série de textes poétiques, extrait de, Abécé de la rupture, un recueil à paraître.
Son dernier texte, Le moderne comme point d’arrivée sans fin, est paru dans, Qu’est-ce que le contemporain, éd. Cécile DEFOE 2010. Chroniqueur radio, producteur de films, lectrice et « performeuse », elle intervient régulièrement dans les écoles d’art, tant en France qu’à l’Etranger.
Invitée par Lise Guehenneux.
Mardi 12 avril 2011 de 11h à 13h dans l’amphithéâtre.