Art
2014
Orestis Vellis
Comme nous marchons sur cette Terre, notre expérience de cœurs à nouveau que la joie ravit, nous nous sommes sentis comme des enfants, quand nous avons d’abord découvert notre capacité à nous déplacer dans l’espace — la perturbation s’alternant à la restauration d’équilibre (de solde) qui marche. […] Les corps (organismes) à travers la surface inégale de la terre et l’interaction infinie réjouissent notre esprit (alcool) des trois dimensions que nous rencontrons à chaque pas (étape), le changement, et le changement qui arrive avec le simple passage d’un nuage haut dans le ciel. Nous passons devant une roche (un rock), un tronc d’arbre, ou le feuillage touffu d’un arbuste ; nous nous déplaçons en haut et en bas, après l’essor et le déclin de la raison (terre), traçant ses convexités, qui sont les collines et les montagnes, et ses concavités, qui sont les vallées. […]
Nous méditons sur l’esprit (alcool) qui émane de chaque terrain (terre) particulier et endroit (place). Des forces naturelles, la géométrie de la terre et de la qualité de lumière, et l’air, choisissent ce terrain (terre) comme un berceau de civilisation.
Comme j’ai marché à pas mesurés sur ce sol, comme j’ai voyagé à travers ce royaume de calcaire et d’argile, j’ai vu le changement (la monnaie) de calcaire dans un linteau ; et l’argile rouge colore les murs d’un lieu saint imaginaire. Les grands cailloux ronds de la Rivière (du Fleuve) Cladeus me sont apparus comme des responsables (têtes) de héros et les statues sur les frontons comme
des montagnes. […]
Les longs cheveux (poils) de Zeus sont devenus un précipice pur, et cette montagne de mille formes — que j’ai progressivement rassemblées comme j’ai marché à travers cela, recomposant dans mon avis (esprit) l’harmonie de ses contours — a pris la forme (le formulaire) d’une statue grecque.
(Texte extrait du catalogue des diplômés de 2014)