Art
2008
Cécile Alvarez
En réaction à une culture nounoursophile, je dessine des bestiaux monstrueux, permanentés comme des vieilles et anti-glamour. Si l’animal en tant qu’archétype représente les couches profondes de l’inconscient, à voir la tête de nos mascottes de salon emperlousées et de nos canidés bouffeurs de minus, il y a de quoi pleurer de rire.
(Texte extrait du catalogue des diplômés de 2008)